Nous avons besoin de la nature qu'on le veuille ou nonđŸŒžâ˜˜ïžđŸŒČđŸđŸŒ±

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Lorsque nous nous éloignons de la nature, les déséquilibres commencent.

La nature est un garde-manger vivant, un espace de régénération qui prend soin de nous quand on lui en laisse la place.

Nous vivons avec l’idĂ©e que la nature sera toujours lĂ . Mais aujourd’hui, extinction de la faune, disparition des pollinisateurs, changement climatique
 tout nous rappelle que nous ne sommes pas sĂ©parĂ©s de la nature, nous en faisons partie.

Chaque plante, chaque microbe, chaque interaction invisible agit sur notre Ă©quilibre. Et l’ensemble de ce grand rĂ©seau vivant a un impact direct sur notre vitalitĂ©.

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La cohabitation avec le vivant : une réalité invisible mais essentielle

En tant que naturopathe, ce qui me fascine, c’est de comprendre comment la nature agit profondĂ©ment sur nous, souvent sans qu’on s’en rende compte.

Nous vivons aux cĂŽtĂ©s de milliards de micro-organismes, invisibles Ă  l’Ɠil nu, qui effectuent un travail colossal :

  • Ils participent Ă  notre digestion
  • Ils influencent notre tension artĂ©rielle
  • Ils soutiennent notre humeur, notre sommeil, notre Ă©nergie

J’ai lu quelque part qu’il existe mĂȘme des acariens spĂ©cialisĂ©s qui mangent les cellules mortes Ă  la base des paupiĂšres.

Fascinant, non ? MĂȘme les plus petits dĂ©tails participent Ă  notre santĂ© et Ă  notre Ă©quilibre.

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Quand on s’éloigne de la nature


L’humain cherche souvent Ă  dominer la nature au lieu de coexister avec elle. On dĂ©veloppe des projets destructeurs, parfois absurdes, sans tenir compte du vivant.

Pourquoi aurait-on besoin d’un rĂ©seau 5G , si ce n’est par dĂ©connexion complĂšte de nos vĂ©ritables besoins?

 

Et si on choisissait de se rapprocher?

Revenir vers la nature, ce n’est pas un retour en arriùre.

C’est une attitude consciente, une maniĂšre de prendre soin de nous tout en respectant l’enchevĂȘtrement des espĂšces dont nous faisons partie.


Cela peut commencer simplement :

  • Choisir des aliments vivants et locaux
  • Marcher en forĂȘt ou observer la nature autour de soi
  • Jardiner, toucher la terre, mĂ©diter Ă  l’extĂ©rieur

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Ce n’est pas juste une question de bien-ĂȘtre



Se couper du vivant, c’est parfois ignorer la cause profonde de notre fatigue, de notre nervositĂ© ou de notre dĂ©sĂ©quilibre.


Revenir à la nature, c’est revenir à soi.





 

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